COT COT
Tu n’existes pas.
Je t’accumule sans mauvaise conscience
et je te barbecue à coup de charbon cramé.
Carburant misérable en plumes de douleur rouge,
je suce ton tibia et convoite ton sot-l’y-laisse.
Je m’excuse à coup de lentilles
quand ma conscience vacille,
mais ton A4 reste
ton passé,
ton présent,
ton avenir.
Je m’excuse